voyance par mail : mon bilan après 6 mois





Armé de ces directives, j’ai décidé de m’engager vivement : tous les lundis, mercredis et vendredis, j’ai pris deux heures pour inscrire mes émotions dans un carnet en n'oubliant pas le manie proposé, puis une autre heure pour vous inscrire à un club sportif mon liberté préféré ( la théorbe et la formation de allure ). J’ai aussi prescrit une version créatrice en atelier de peinture pour le troisième samedi du mois, tirant y croiser de nouvelles personnes. Et j’ai créé chaque soir une activité de gré : écrire trois petites choses évidentes de ma emploi du temps chaque jour. Au cours des semaines, j’ai vu ma mélancolie se changer en vigueur, j’ai renoué avec ma esprit de création, et même les autres ont remarqué mon changement d’attitude. En 4 mois, d'un côté j’ai retrouvé le visage, mais j’ai aussi fait la connaissance d’une fille adoptant ma passion pour la musique, lors de ce remarquable atelier de peinture, tels que l’avait prédit Olivier. La voyance par courrier électronique, éloigné d’être un instrument, s’est révélée un vrai conseiller : un espace sécurisé où j’ai pu formuler mes questions, se procurer des guidances structurées et les pratiquer à mon rythme. Et tout cela, sans l'anxiété d’une consultation directe, mais avec la cadence d’une parole malencontreuse installée et d’un plan d’action matériel.

lorsque la par e-mail se rend un coup de boost pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai vin que j’allais se déchirer. Passer du lycée à l’université, cela n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des audits écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes notes ont débuté à trébucher, et je me suis mis à hésiter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts voyance olivier plus rassurant. Un soir de juillet, dans une situation délicate devant mes traditionnels de doctrine, je discute avec un collégue qui me parle de la voyance par mail : « T’as une problématique, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu clair dans la journée ». Ça m’a semblé plus en profondeur qu’un tarot via un appel téléphonique ou un SMS de 3 mots. Alors j’ai tenté : j’ai produit un mail à Olivier, renseignant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes défiance, mes peurs, même mes mauvaises habitudes ( je séchais souvent les TD pour traîner en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une variété d’espoir et de scepticisme.



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